Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle : Un Séjour Candauliste

Ce séjour en Tunisie (« Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le plaisir d’avoir un mari bisexuel », paru le 14 juillet 2019), avait été l’occasion de réveiller, et de quelle manière, la bisexualité de Philippe et le plaisir si fort que j’ais d’assister aux ébats entre hommes.

C’est sans doute le moment où je comprends le mieux et partage le candaulisme de Philippe. J’apprécie cela d’autant plus que c’est rare, et même exceptionnel. Pour parvenir à ce résultat, je l’avais plus qu’encouragé, je l’avais fortement poussé à aller au bout des contacts qu’il avait eus sur les réseaux sociaux avec Mohamed.

Dans les jours qui ont suivi, Mohamed revenait régulièrement nous voir, insatiable de faire l’amour avec mon mari, ou plutôt de le baiser, car il le traitait comme sa femelle.

Le jeune Tunisien n’en revenait pas qu’un homme mûr, marié, père de famille, bisexuel, puisse être aussi chaud et accro à sa queue.

Mohamed avait entraîné Philippe dans d’autres débauches homosexuelles et partagé avec des amis à lui le corps de mon chéri, et tout particulièrement sa bouche et son cul. Je ne l’ai su que plus tard et j’en ai été furieuse, car cela constituait un accroc à notre pacte candauliste, selon lequel nous ne devions rien nous cacher. Je dois cependant reconnaitre que j’étais mal placée pour reprocher quoique ce soit à Philippe. J’étais surtout frustrée de n’avoir pas pu assister à ces séances qui m’auraient particulièrement excitées.

Je crains d’avoir joué avec le feu et que Philippe ne tombe amoureux du beau Mohamed et que, du coup, il vire sa cuti, au point de menacer la pérennité de notre couple, alors qu’il venait de se reconsti et restait fragile, puisque nous étions quelques mois après la découverte de l’adultère prolongé entre Philippe et Ambre.

Philippe me rassura, aussi bien en se montrant assidu et performant auprès de moi, mais aussi en jurant que ses sentiments n’allaient qu’à moi.

La relation avec Mohamed n’était qu’une histoire de cul.

De mon côté, mes sens étaient exacerbés par le climat érotique qui avait été ainsi créé. Il y avait cette année-là, dans le contexte sécuritaire de la Tunisie, au lendemain d’attentats terroristes, peu de touristes.

Nous bénéficiions donc de toutes les attentions, spécialement moi. Je pouvais constater, aux regards qui m’étaient adressés et, fine observatrice, aux érections, l’effet que je provoquais. Il est vrai, qu’encouragé par Philippe, je donnais libre cours à mes tendances exhibitionnistes. A la plage privée de l’hôtel, mes bikinis cachaient le moins possible mes seins et seul un fin string de bain cachait ma vulve, soigneusement épilée. Philippe m’avait offert ces bikinis, lui qui aime tout particulièrement que je m’exhibe.

Il fallait donc que moi-aussi je profite du séjour. Je m’en suis ouverte à Philippe, qui m’a encouragé, me disant :

• Je t’ai offert mon plaisir, ma chérie. C’est un juste retour des choses que je puisse maintenant te voir jouir. Il faut absolument profiter de ce séjour pour satisfaire notre candaulisme et ton hypersexualité.

Je me mis donc à choisir au niveau de l’hôtel, nous n’avions que l’embarras du choix, compte tenu des avances dont j’étais l’objet et de la réputation que j’avais rapidement acquise. Ayant été sous la coupe de Rachid, je savais ce que voulaient dire « Kahba » (la putain) ou « Waqiha » (salope) quand ils parlaient entre eux de « Alfaransia », la Française.

Il fallait cependant trouver un mâle qui soit disposé à accepter nos pratiques.

UNE PREMIERE TENTATIVE QUI PROFITE A PHILIPPE

Notre premier partenaire fût Karim, un serveur, un ami de Mohamed, qui lui avait parlé de notre couple. Il se trouvait que Karim était bisexuel et qu’il fut donc ravi de se taper le mari et l’épouse.

Karim nous a rejoints en fin de service, discrètement. Dès qu’il est entré à la chambre, où nous l’attendions nus, je l’ai pris dans mes bras, pour échanger un long baiser et vérifier qu’il bandait bien.


Puis j’ai taillé une pipe à Philippe devant Karim. Ce dernier est venu me caresser et m’a carrément bouffé la chatte. Le bougre m’enfonçait sa langue puis est venu m’embrasser à pleine bouche.

Il a baissé son pantalon et a fourré sa bite dans la bouche de Philippe. Il a enjambé le fauteuil pour se retrouver face à Philippe dont il baisait littéralement la bouche, pendant que moi je suçais Philippe.

• Karim, fais-moi plaisir, encules mon mari !

• Mais, chérie, et toi ?

• Ne t’inquiète pas, laisse toi aller. Tu sais que j’adore ça !

Je m’étais installée sur le fauteuil de la chambre, les cuisses écartées et je me caressais les seins et la chatte en le regardant faire.

Karim avait mis Philippe en position de levrette, avec la tête dans le coussin et le cul cambré. Il lui a dévoré le cul et a même craché entre les fesses. Je suis venue écarter les fesses de Philippe pour guider le sexe de notre amant dans son cul. Il s’est enfoncé en lui très profondément, ses couilles tapaient contre celles de Philipe.

Je pinçais les tétons de Karim et l’embrassait. J’étais venue coller ma chatte contre le dos de Philippe et me trouvait à califourchon, à l’envers sur lui. Je pouvais ainsi admirer la bite de Karim qui défonçait l’anus de mon mari. Karim était très excité.

• Il me l’avait dit Mohamed qu’il était bon ton cul. Et ta femme, comme elle est chaude ! Femme, mets-toi à quatre pattes à côté de ton pédé !

J’ai préféré me mettre à plat ventre sur Philippe afin d’offrir nos deux culs de manière superposée à Karim. Le salaud passait d’un cul à un autre. Nous étions en train de nous faire enculer par le même homme.

Je me suis dégagée pour reprendre ma position initiale. Je me suis frotté la chatte contre le dos de Philippe, j’étais excitée. Karim l’était lui aussi et a indiqué qu’il allait jouir. Nous nous sommes mis tous les deux, joue contre joue devant sa bite et avons attendu les jets de foutre chaud contre nos visages.
Karim s’essuyait le gland sur nous.

Après avoir discuté un petit peu, Karim est parti. Je me suis retrouvé seule avec Philippe, qui venait à nouveau de se faire enculer par un amant devant moi. Nous avons ensuite baisé tous les deux et nous avons joui comme nous n’avions jamais joui auparavant.

Pourtant je restais sur ma faim. Nous étions là depuis plusieurs jours et c’était toujours la « disette » pour moi. Je n’en pouvais plus, il fallait que je me soulage, en clair que je me fasse baiser et vite. Mohamed devant venir, je décidais de laisser les deux amants seuls et de me mettre à rechercher ceux qui allaient pouvoir éteindre le feu qui me consommait. Ça tombait bien : les deux amants m’avaient demandé comme une faveur de les laisser seuls, ayant besoin de cette intimité. J’avais accepté un peu à contrecœur, car je ne me lassais pas d’être témoin de leurs amours et j’étais du coup particulièrement excitée. Mais c’était une occasion pour trouver ce que je recherchais : des amants pour moi.

Mon après-midi fut fructueuse, d’abord à la plage, puis à la salle de gymnastique et enfin lors d’une promenade au souk. Pendant que Mohamed baisait mon chéri, je n’avais pas perdu mon temps.

A MON TOUR

Ce soir-là, après le diner, nous avions regagné notre chambre. J’ai pris rapidement une douche et suis sortie de la chambre, après avoir mis un peignoir, et revins quelques minutes plus tard. Des minutes interminables pour Philippe.

Je suis revenue rapidement accompagnée de deux mecs. C’était Youssef et Ibrahim, respectivement moniteur de sports et surveillant de plage.

J’avais chauffé Youssef et Ibrahim toute l’après-midi.

A la salle de gymnastique, au prétexte de mieux me montrer les gestes à accomplir, Youssef avait eu les mains baladeuses, tant sur mes seins que sur mes fesses et m’avait fait sentir sa formidable érection. Nous étions seuls, mais, par prudence, il me murmura à l’oreille :

• T’es trop bonne.
Tu me rends fou. Viens, allons dans mon bureau, je vais te baiser !

Je me suis retournée, je lui ai offert mes lèvres. J’avais envie de lui dire oui, car après tout, Philippe m’avait « chassé » de notre chambre pour rester seul avec son amant. Et surtout, je n’en pouvais plus, j’avais une envie folle de baiser. Je me suis pourtant contrôlée au dernier moment, je voulais que Philippe puisse en profiter. C’était l’engagement de notre pacte candauliste et, alors qu’il avait tant satisfait mes fantasmes de le voir avec un mâle, je lui devais bien ça :

• Moi aussi j’aie envie de toi. On fera ça ce soir à ma chambre. Je te préviens que mon mari sera là et qu’il assistera. Ca ne te gêne pas ?

• Si ça lui plait de se faire cocufier, pas de problème pour moi !

J’étais ensuite allée à la plage. Et c’est là qu’Ibrahim n’a cessé de tourner autour de moi, profitant de la faible fréquentation pour me draguer. Observatrice, je ne pouvais ignorer sa formidable érection, que j’avais provoquée par ma tenue qui ne cachait pas grand-chose. Les sourires et les clins d’œil échangés lui firent rapidement comprendre que j’étais réceptive.

Prudent, Ibrahim s’arrangea pour me donner son mobile, afin que nous puissions dialoguer par SMS, sans risques pour lui :

• C’est moi qui te fais cet effet ? Je m’appelle Olga.

• Je sais, moi c’est Ibrahim. Tous les mecs de l’hôtel fantasment sur toi depuis que vous êtes arrivés. Certains pensent que le petit Mohamed vient pour toi, moi je sais qu’il vient pour niquer ton mari. Moi c’est toi que je veux sauter, Olga !

• Moi aussi j’ai envie que tu me baises, Ibrahim

• Alors, je connais un endroit discret, je te dis où aller et je te baise, ça se voit que t’es en chaleur.

• Il y a juste deux problèmes : d’abord, je veux que ça se passe devant mon mari

• C’est spécial, mais ça me gêne pas !

• Et j’ai promis ce soir de faire ça avec Youssef.

• Youssef c’est mon copain, comme un frère. Ça te dirait qu’on fasse ça à trois ?

• Au contraire, c’est une excellente idée ! Tu le préviens, je viendrai vous chercher pour vous conduire à la chambre.

Pour éviter toute tentation et tenir jusqu’au soir, je suis allée faire une promenade au souk de la ville, où je fis la rencontre de deux commerçants, Mouloud et Majid. Ce n’était pas prévu, mais ça me permit d’établir un programme pour une prochaine journée, le plus dur fut de les faire patienter et de résister à la tentation de passer aux actes directement.

TRIO DEVANT PHILIPPE

J’étais donc allée récupérer Youssef et Ibrahim qui attendaient, à proximité de la chambre et avec impatience, mon signal.

Les présentations furent courtes. Ces deux mâles étaient venus pour baiser « Alfaransia ». Ils étaient fiers d’être les premiers à faire ce dont beaucoup de mâles de l’hôtel rêvaient depuis notre arrivée et ne cachaient pas leur mépris pour ce mari candauliste et bisexuel.

Philippe fit en sorte de rappeler que cela se faisait avec son accord et en sa présence. Il se leva en s’exclamant :

• Olga va se faire un plaisir d’être votre partenaire ce soir. Vous pouvez lui faire ce que vous voulez, elle est prête, je vous l’offre. Allez-y, on en meure d’envie Olga et moi, alors faites-nous plaisir !

Je tenais mes deux futurs amants par la main.

• Alors, Messieurs, on commence ?

• Eh ben, merde alors, si on nous l’avait dit, tu as vraiment envie, Olga ?

• Allez arrêter de parler, oui, j’ai envie, faites-moi ça bien, je veux que cela dure longtemps.

A ces mots, les fauves étaient lancés, ils firent tomber le peignoir, je me retrouvais en string.

Philippe s’installa dans un fauteuil et commença à mater. A lui aussi manifestement ça avait manqué.

Youssef avait déjà écarté mon string pour glisser un doigt dans ma fente humide. Pendant ce temps, Ibrahim s’occupait de mes seins et de ma bouche. Ils me couchèrent sur le lit et Youssef retira mon string. Il enfonça sa langue, bien profond dans ma chatte et j’eus mon premier orgasme. Je regardais Philippe qui se massait déjà les couilles au travers de son pantalon.

Ibrahim extirpa de son bermuda son membre déjà bandé, il était large et plein de veines apparentes.

Il me le présenta à sucer et je le gobais sans faillir.

Hum cette queue dans ma bouche, quel délice, cette langue et ces doigts dans ma chatte, quel bonheur et mon mari qui me regardait, c’était divin.

Ibrahim et Youssef échangèrent leur place et je fus émerveillée de voir la longue pine de Youssef sous mon nez, elle était grosse et longue. Je me mis à le sucer avec ardeur en la prenant dans une main et je lui caressais les fesses de l’autre.

Ibrahim me titillait le clitoris avec sa langue. Très vite, j’obtins un nouvel orgasme.

J’en voulais davantage. Je voulais qu’on me baise. Philippe avait mis à leur disposition des préservatifs.

Ibrahim présenta sa grosse queue à l’entrée de ma chatte, détrempée et en fusion. Il s’enfonça délicatement en moi et je sentais bien sa large queue me frotter mes parois vaginales, cette sensation m’excita tellement que je m’arcboutais pour mieux la recevoir bien à fond.

• Oh, enfin, que c’est bon ! Vas-y Youssef, baise-moi !

Oh, que cela m’avait manqué. Des semaines sans avoir fait l’amour avec un autre homme que Philippe. Et pire, le climat érotique dans lequel nous étions depuis notre arrivée, les scènes auxquelles j’avais assistées avec Philippe, la séance avec Karim qui m’avait laissé insatisfaite, et tous ces mâles qui me tournaient autour et ne cachaient pas qu’ils voulaient me baiser. J’étais en chaleur comme je l’avais rarement été.

Philippe s’était levé pour mieux voir. J’étais heureuse de jouir devant lui. Cette sensation d’être observée, pendant que je suçais la longue tige d’Youssef et qu’Ibrahim me ramonait en profondeur, était sublime.

• Allez, Messieurs, baisez la bien, elle en veut, c’est une vicieuse, je vous l’ai dit, j’ai épousé une bonne petite cochonne qui aime se faire sauter devant son mari, allez donner lui vos queues, qu’elle hurle de bonheur.

A ces mots, je sentis en moi comme une déferlante de plaisirs et je me mis à jouir encore plus sans me retenir.

• Vous voyez elle aime ça, elle en veut encore.

• Oh oui, Philippe, mon amour, viens m’embrasser et vous, allez-y, démontez-moi, baisez-moi, comme une chienne, comme une salope !

Ibrahim se retira de moi et Youssef prit sa place et tout s’accéléra quand je sentis cette longue bite me perforer, je ne pus me contenir et j’écartais en grand mes jambes pour mieux la recevoir.

Après un moment, Youssef me retourna et je me retrouvais en levrette. Je reçus une nouvelle fois la bite d’Ibrahim à sucer. Mais cette fois ci, j’étais trop à ma jouissance pour me concentrer sur sa queue. Il prit ma tête à deux mains et s’activa dans ma bouche comme dans une chatte.

J’étais perforée en cadence, je jouissais. Philippe les encourageait.

Ils s’activèrent en moi en rythme et je jouis encore dans un feulement de bête. Ils échangèrent de nouveau leur place et ce fut avec délice que je reçus de nouveau la large queue d’Ibrahim dans mon trou mouillé. Ils étaient particulièrement endurants et j’avais l’impression qu’ils ne s’arrêteraient jamais.

Je jouissais sans discontinuer, ma bouche me faisait un peu mal, Ibrahim se retira et vient s’asseoir sur le lit, Youssef s’arrêta également après un dernier râle de plaisir.

Ibrahim me fit asseoir sur lui et je m’empalais de nouveau sur sa queue bien bandée.

Il me fit mettre mes pieds sur le canapé pour être encore plus écartée. Hum, c’était divin, d’être remplie ainsi. Philippe vint embrasser mon visage plein de jouissance. Il se régalait.

• Alors, Youssef, à quoi penses-tu, il ne te plait pas le petit cul d’Olga ?

• Oui, il me plait, si tu le veux bien, je vais le prendre.

• Elle n’attend que cela, cette petite dévergondée.

A l’idée d’être sodomisée par Youssef alors qu’Ibrahim était dans ma chatte, je me mis à frissonner de tout mon corps.

• Tu as raison Philippe, elle attend que cela ta petite femme chérie, elle en frisonne déjà.

• Eh, bien j’attends pour voir, car je veux vous voir lui visiter tous ses jolis trous.

Mon mari prenait son pied de me voir baiser par eux. Cela se voyait sur son visage.

La queue d’Ibrahim était divinement excitante et performante et il savait baiser, ce salaud.

Il me plaqua les hanches sur lui et me bloqua ainsi, je savais qu’Youssef allait me pénétrer le cul car mon mari passa derrière mon dos. Ibrahim continuait à remuer du bassin et sa queue bien chaude irradiée ma chatte bien humide de jouissance.

Youssef enduit mon cul d’un produit gras et présenta son gland à l’entrée de mon anus.

A l’idée de recevoir ce pieu dans mon cul, j’en jouissais déjà.

Il me pénétra centimètre par centimètre, et obtint de moi des petits cris de jouissance à chaque poussée.

Il resta un moment dans mon cul sans bouger, puis recommença à enfoncer le reste de sa lance.

J’avais le feu au cul, son pieu fouillait mon trou au plus profond et il se cala d’un coup à fond et je sentis ses bourses me cogner les fesses. J’ai hurlé mon plaisir, sans aucune retenue.

• Oh que c’est bon ! Comme ça m’a manqué ! Ouiiiiiii

Youssef et Ibrahim se mirent à me pilonner comme des bêtes en rut.

Prise en sandwich, je hurlais sans cesse. J’avais bien choisi, mes amants étaient performants et endurants et m’avaient procuré de nombreux orgasmes, alors qu’eux n’avaient pas encore joui, se retenant au dernier moment, fiers de me dominer comme un cavalier l’aurait fait avec une monture.

Après un long moment de fornication et après que j’ai eu un nouvel orgasme, Ibrahim et Youssef changèrent de position. Youssef allongeait sur le canapé, j’enfonçais à nouveau sa divine queue dans ma chatte et Ibrahim prenait possession de mon cul bien préparé par la queue d’Youssef.

Ils me pistonnèrent comme cela encore pendant un très long moment, j’ai renouvelé orgasme sur orgasme. Je regardais mon mari me mater. Je n’en pouvais plus, mon visage était déformé par le plaisir, je sentais mon cœur battre violemment, je pensais que j’allais mourir de plaisir.

Après un ultime orgasme dévastateur, ils se retirèrent de moi et enlevèrent leurs capotes et éjaculèrent de concert sur mon cul, mes seins et mon visage. Quels flots de sperme, je reçus.

LA RECOMPENSE DU MARI CANDAULISTE

J’ouvris les yeux, j’avais ma chatte et mon cul grands ouverts à quatre pattes sur le lit. J’étais complétement épuisée, mais je voulais récompenser Philippe pour cette merveilleuse séance.

• Viens chéri, viens me donner ton foutre dans le trou que tu veux ! ! ! !

• J’arrive ma petite garce, je vais remplir de sperme chaud ton petit cul de vicieuse.

Youssef et Ibrahim, sur un signe de Philippe se retirèrent discrètement. Ils venaient de me baiser pendant près d’une heure et étaient eux-aussi épuisés.

Philippe présenta son gland à l’entrée de mon cul largement ouvert.

Il me pénétra sans difficulté et après une très courte fornication, il me déversa tout son jus bien chaud dans mes entrailles, bien à fond et j’obtins ainsi mon ultime orgasme de la soirée. Je m’effondrais sur le canapé, morte de jouissance.

• Tu as été superbe ma chérie, tu es vraiment une sacrée baiseuse !

Je marmonnais des mots sans suite et m’endormis dans ses bras, ivre de plaisir.

Le lendemain, je me réveillais, Philippe me regardait de nouveau.

• Je vais te baiser ma chérie, hier soir, je n’ai pas eu mon compte, trop excité que j’étais.

• Oui, viens mon amour.

D’habitude, c’est moi qui prends l’initiative au réveil le matin.

Nous avons notre rituel, qui consiste à ce que, réveillée la première, je prends en bouche la queue de mon chéri encore endormi. La fellation que je pratique alors sur lui finit de le réveiller. Il se laisse faire, véritable homme objet, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche gourmande.

Ce matin, c’était différent, il prenait l’initiative et voulait être le premier à posséder celle qui s’était tant donnée la veille.

Philippe, contrairement à ses habitudes, ne s’attardait pas en baisers et en caresses. Il voulait me baiser. J’écartais donc en grand mes cuisses pour recevoir le sexe bandé de mon homme.

Philippe m’a pistonné, d’abord avec douceur puis très vite avec force, sa queue moins volumineuse que les autres m’a donné beaucoup de plaisir et j’ai gueulé ma jouissance lorsqu’il a éjaculé en moi.

J’avais envie de parler, de faire le point sur notre couple, sur nos pratiques. Dans les bras l’un de l’autre, nous avons eu une longue conversation.

Philippe, me regardait, infiniment tendre. Il m’embrassait et me caressait délicatement, amoureusement.

• Tu as aimé, chéri ?

• Te baiser dès le matin ? Bien sûr !

• Je pensais à hier soir. Ca t’a plu ?

• J’ai adoré. Tu es unique, mon Olga. Je t’aime tant.

• Mais qu’est-ce que tu veux voir, tu me vois quand on fait l’amour !

• Mais dans ce moment-là... tu es simplement magnifiée. Au final, c’est ton corps que je regarde. Et pourtant, je le connais par cœur.

• Qu’aimes-tu, quand tu vois un autre mec me prendre ?

• Ce qui me fascine, c’est l’ensemble, mon Olga qui se laisse aller à faire l’amour avec un mec, parce qu’elle sait que ça m’excite à mort. Tu as une manière de faire l’amour que je trouve ment divine. Tu es encore plus belle quand tu jouis. Tu as un corps fait pour faire l’amour. Si c’était possible, j’aimerais que tu passes tes journées à faire l’amour, à te faire saillir, toujours nue, les mâles à qui je t’offre se succédant sur toi. Je t’imagine couverte de sperme et ayant été honorée par tous tes orifices.

• Vicieux, ça te plaisait les séances d’abattage qu’organisait pour moi Rachid !

• Je le reconnais. A la fin tu étais épuisée, couverte de sperme. Tu en avais partout, sur tes seins, ton visage, tes fesses, tes cheveux. J’adore t’embrasser, te nettoyer dans ces moment-là.

• Ce qui est dommage, au temps du SIDA et des MST, est de ne pas pouvoir plus souvent me faire remplir par ces amants. Car tu sais que c’est sans capote que ma jouissance est la plus intense, la plus dévastatrice. Parce que je sais qu’ensuite mon chéri va venir nettoyer ma chatte et ainsi me donner une immense preuve d’amour. Quand je me fais prendre devant toi, je sais que c’est à toi que je dois tout ce plaisir et c’est à toi que je l’offre, par les regards que nous échangeons, les paroles d’amour. Je sais combien tu aimes quand je me comporte comme une putain, mon mari candauliste et vicieux !

• Je ne m’en lasse pas. Quelquefois, comme hier soir, j’ai peur que tu meurs de plaisir. Quand tu prends ton pied et je que je te tiens la main, tu écrases mes doigts, tellement tu jouis. On a l’impression que c’est tellement fort que tu es au bord de l’évanouissement.

• Oui hier soir j’ai cru un moment que mon cœur allait exploser.

• Ce qui me fascine, c’est la façon dont tu te sers de ton corps, avec des moments où tu prends l’initiative et d’autres où tu es totalement passive. Plus crûment, j’aime bien aussi quand tu suces le mec. Je connais tes talents exceptionnels de fellatrice !

• Parfois je me dis : « Je couche avec un ou des mecs que je n’avais jamais vus deux heures avant et mon mari est là, il est à poil et il se paluche » C’est bizarre, quoi ! Mais je me dis aussi, qu’en me matant, tu es aussi en train de prendre ton pied, que tu t’éclates et ça me fait plaisir. Et moi j’aime ça, j’aime vraiment faire l’amour. J’adore découvrir un nouveau corps, une nouvelle peau. Tu me donnes cette chance de pouvoir rencontrer d’autres mecs.

• Tu étais déjà hypersexuelle avant de me connaitre.

• C’est vrai, mais t’avoir rencontré a changé ma vie. D’une part, tu m’as fait comprendre qu’il fallait que j’assume mon hypersexualité. Et surtout tu m’as fait découvrir le candaulisme et cette complicité qui en découle.

• Ca n’a pas été sans dérapages. Il y a eu Rachid, Hassan, nos infidélités réciproques. Aujourd’hui, notre couple doit trouver son équilibre. Ce n’est pas facile. Je me rends compte que ces longues semaines d’abstinence que nous nous imposons sont très dures à vivre, pour toi comme pour moi. Hier tu étais en situation d’urgence, je l’ai perçu à la violence de ton plaisir.

• Tu sais, chéri, j’ai un rapport de mammifère au corps. C’est pour ça que j’ai toujours adoré être enceinte. Je trouve que ça fait du bien, de revenir à un état où tu poses ton cerveau et tu laisses ton corps parler. Je pense que les femmes ont souvent un problème pour passer de la maman à l’amante. C’est compliqué, parfois, de changer de rôle.

• Moi, j’adore quand tu me regardes et que je vois dans tes yeux que c’est bien... Mais même quand tu ne me regardes pas, tu fermes les yeux et je vois à l’expression de ton visage que tu es bien, que tu prends ton pied. Chérie, mettons à profit ces quelques jours pour d’autres moments comme celui-là, pour faire ce que nous ne pouvons faire librement tout au long de l’année, pour préserver les s et notre réputation. Toi, tu as déjà un plan pour demain ?

• Et bien hier, en fin d’après-midi, après avoir « levé » Ibrahim et Youssef et le temps avant cette soirée dont je savais qu’elle serait torride, j’ai fait une promenade en ville et j’ai sympathisé avec deux commerçants, Mouloud et Majid. Ils sont originaires de cette ville mais sont aussi commerçants au souk de Tunis. Ils m’ont dragué comme des fous. J’ai eu du mal à les faire patienter, je leur ai promis de venir les visiter au souk à Tunis. Mais à une condition bien évidemment : que tu puisses assister. Ils ont bien sûr accepté. C’est prévu pour demain, si tu es d’accord bien entendu.

• Evidemment que je suis d’accord ! Cochonne, l’hôtel ne te suffit donc plus comme terrain de chasse !

• L’idée de me faire baiser dans une arrière-boutique, dans un souk, devant toi, me plait beaucoup !

(A suivre)

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